Nous vous invitons à faire plus ample connaissance avec Kristen Wallet, comptable à la gestion locative. Portrait illustré par Héléna Coussy.
VOS MISSIONS CHEZ VALIÈRE CORTEZ ?
Être comptable au service Gestion Locative, c’est une somme de tâches plurielles pour s’assurer de la bonne tenue des comptes des bailleurs qui nous font confiance, du parfait quittancement des loyers auprès de nos locataires, de leurs révisions annuelles, du calcul des régularisations de charges locatives, de l’édition dans les temps des revenus fonciers, du remboursement dans les temps des dépôts de garantie à la sortie d’un locataire, etc…Autant de tâches qui rendent ce métier riche, dense et qui demandent une stricte organisation. Cultiver un rapport de confiance étroit avec nos bailleurs et locataires, pour certains à nos côtés depuis 30 ans, est une véritable gageure qui n’est pas pour me déplaire.
DEPUIS COMBIEN DE TEMPS CHEZ VALIÈRE CORTEZ ?
Après une licence en banque, finance et assurance, je me suis essayée au contrôle de gestion mais je lui ai rapidement préféré la découverte du métier de l’immobilier. J’ai donc débuté en 2012, au service copropriété du cabinet, sans en connaître les principes. Après un an en tant qu’hôtesse d’accueil/standardiste, j’ai ensuite été en charge du suivi des contentieux pendant près de 5 ans. D’un naturel curieux, j’ai souhaité me diriger vers une autre facette du métier, la gestion locative. J’y ai d’abord rempli le rôle d’assistante location/ gestion pour devenir aujourd’hui comptable à temps plein. Un métier très enrichissant dans lequel je m’épanouis aujourd’hui pleinement.
VALIÈRE CORTEZ EN 3 MOTS ?
Familial, sérieux, efficace.
VOTRE RUE OU QUARTIER PRÉFÉRÉ À PARIS ?
Le passage des Panoramas, sans hésitation ! Pour la gourmande que je suis, férue de gastronomie, c’est l’endroit idéal pour trouver un bon petit resto.
UN HOBBY OU UNE PASSION ?
Très manuelle, je suis fan de tout ce qui touche à la cuisine, à la pâtisserie. Ce sont des moments qui me permettent de faire descendre la pression et de m’apaiser. Alors je teste régulièrement mes recettes sucrées auprès de mes collègues qui semblent bien les apprécier. Ils m’incitent régulièrement à m’inscrire au concours du « Meilleur Pâtissier ». J’en ris et retourne aussitôt à mes chiffres.